5 fausses-bonnes-excuses pour ne pas oser le Défi 100 jours
Entre nous et l’atteinte de notre plein potentiel, un obstacle de taille s’immisce souvent : le mot « excuse ». Les excuses ont la vilaine habitude de faire irruption dans nos vies au moment où de grandes décisions doivent être prises. Comment se fait-il qu’elles aient un sens si précis du timing ? Parce que les excuses sont un baume temporaire sur nos zones de vulnérabilité, nos inconforts et, avouons-le, nos peurs.
C’est pourquoi on vous a concocté le palmarès des cinq prétextes qui fusent le plus souvent de la bouche de celles qui hésitent à se lancer dans l’aventure du Défi 100 jours. Une manière de vous faire comprendre que vous n’êtes pas seule dans vos réflexions… et que certaines excuses ont le dos extra large !
1. Je n’ai pas le temps
La classique. L’excuse presque infaillible. « Je n’ai pas le temps » est une expression-façade. Ce qu’on veut vraiment dire c’est plutôt : « ce n’est pas une priorité ». Votre développement professionnel se situe-t-il au haut de votre liste ? Si oui, alors sachez que la formation a été réfléchie et conçue afin que vous puissiez la compléter selon votre horaire. Nous estimons que le Défi 100 jours nécessite environ 50 heures réparties entre les ateliers, les webconférences — que vous pouvez visionner en différé s’il vous est impossible de le faire en direct — et le travail personnel. Tout ça, en 100 jours. Pensez-y : vous n’y consacrerez pas plus d’heures par semaine qu’à une série sur Netflix !
2. C’est trop cher
Combien de fois êtes-vous sortie emballée d’une formation ou d’un séminaire pour réaliser que quelques semaines plus tard, les notions apprises s’étaient volatilisées de votre esprit ? Le Défi 100 jours (qui n’est pas beaucoup plus dispendieux que ces événements ponctuels) a fait ses preuves : l’investissement est durable. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : 95 % des diplômées affirment qu’un an après la fin de leur formation, elles mettent toujours en pratique les apprentissages qu’elles y ont faits. Ça en dit long, non ? Notre méthodologie basée sur le micro-apprentissage est à l’origine de ces résultats transformateurs.
Ah oui ! Sachez aussi que le Défi 100 jours est éligible à la loi du 1 % sur la formation ; parlez-en à votre employeur ! Nous vous offrons également la possibilité de payer en trois versements.
3. Ce n’est pas fait pour moi, je ne suis pas carriériste
Soyons clairs : le Défi 100 jours n’est pas une formation pour apprendre aux femmes à devenir PDG. Il s’agit plutôt d’un parcours qui leur permet de révéler et de communiquer leur ambition de vie professionnelle. Détrompez-vous, cela n’a rien à voir avec le fait d’être carriériste ou pas. L’ambition est un moteur pour se dépasser et sortir de sa zone de confort. Une manière d’aller au bout de vous-même, d’être bien au quotidien et d’avoir confiance en vos compétences, peu importe le poste que vous occupez ou que vous souhaitez obtenir. Alors, quels sont VOS objectifs ?
4. Je ne vois pas ce qu’une formation avec des femmes seulement va m’apporter
Est-ce que la réalité professionnelle des femmes et des hommes est la même ? Nul besoin de vous dire que ce n’est pas le cas, malheureusement, encore aujourd’hui. On a qu’à penser aux nombreuses barrières qui entravent la carrière des femmes comme les préjugés inconscients, la disparité salariale ou l’absence de modèles féminins. Si ce contexte est propre aux femmes, leur posture mentale l’est aussi. Et c’est précisément l’approche du Défi 100 jours qui adresse des thématiques qui collent de manière spécifique à la peau des femmes : confiance en soi, négociation, prise de risque, jeux politiques et réseautage. La formation permet de créer un cadre de discussion riche, en plus de favoriser les échanges avec d’autres femmes, ambitieuses comme vous, qui partagent votre réalité.
5. Je crois avoir trop (ou pas assez) d’expérience pour faire cette formation
Il n’y a pas d’âge pour être ambitieuse ! Dans les faits, le parcours accueille à chaque cohorte une grande diversité de femmes de différents milieux professionnels, qui cumulent 5 ans, 10 ans ou même, 25 ans d’expérience. C’est en grande partie ce qui fait la richesse du programme. Notre seule recommandation à cet égard : avoir un minimum de 5 ans d’expérience.
Vous souhaitez mettre un visage sur nos participantes ? On vous présente Isabelle, Maïté, Caroline et Mélanie, quatre diplômées de L’effet A. Voyez comment le Défi 100 jours a transformé dans leur vie.
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