Quand la mixité est moteur d’innovation

Chez Syensqo, une organisation scientifique internationale de 13 000 collaborateurs spécialisés dans la mobilité, l’électronique, la santé et l’alimentation, la mixité n’est pas un vœu pieux : c’est un pilier stratégique ancré dans son ADN. Dans un monde où l’innovation est essentielle pour bâtir un avenir durable, Syensqo démontre qu’une plus grande diversité dans les postes clés est un formidable levier de performance humaine et financière.
L’expérience nous l’enseigne, les études le confirment : les organisations ayant une équipe de direction diversifiée atteignent des niveaux supérieurs d’innovation. Ceci explique pourquoi la mixité est devenue un impératif de compétitivité pour Syensqo. Et pour que cette mixité puisse se déployer à son plein potentiel, l’organisation s’est efforcée de bâtir un environnement inclusif où toutes les voix comptent.
Pour ce faire, elle a mis en œuvre une série d’initiatives :
- Formations sur le management inclusif ;
- mentorat ;
- modèles de représentation ;
- nouvelles organisations du travail et
- suivi systématique des impacts.
Cela dit, pour casser les plafonds de verre, il faut également agir sur les obstacles inhérents au parcours professionnel des femmes; c’est précisément là que le Défi 100 jours de L’effet A intervient avec force.
Cultiver l’audace et la prise de risque
Chez Syensqo, la prise de risque est identifiée comme l’un des moteurs fondamentaux de l’innovation. Or, courir un risque commence souvent par oser exprimer une idée divergente, car il se peut qu’elle déplaise et soit remise en question. Durant leur Défi 100 jours, dont le travail sur la capacité à courir des risques stratégiques est au cœur du parcours L’effet A, les participantes de Syensqo ont appris à faire entendre leur voix et à questionner sainement les décisions prises par les dirigeant·es de l’organisation – autant de comportements essentiels pour nourrir une dynamique d’innovation.

Non seulement ces femmes prennent davantage la parole dans les lieux décisionnels, mais elles acquièrent des outils concrets pour franchir les obstacles professionnels et accélérer leur évolution de carrière. Elles gagnent ainsi en visibilité, ce qui favorise leur progression interne. En effet, lorsqu’une femme ose prendre la parole avec assurance, elle peut ensuite être identifiée comme une contributrice stratégique dont l’opinion compte – en d’autres mots, son impact s’amplifie.
« Plus nos équipes sont mixtes, plus elles nourrissent des débats riches, stimulent la créativité, accélèrent la prise de décision et favorisent l’émergence de solutions inédites, donc de l’innovation. Dans cette quête, le Défi 100 jours de L’effet A s’est révélé un puissant catalyseur », explique Greg Renders.
Des impacts mesurés dans toute l’organisation
Cet effet boule de neige transforme non seulement des trajectoires individuelles, mais impacte également la culture de l’ensemble de l’organisation. Les données récoltées en interne parlent d’elles-mêmes :
Faire le choix de la mixité pour ses vertus stratégiques
Pour mieux affronter les enjeux sociopolitiques, et malgré les vents contraires qui soufflent sur les initiatives d’équité, de diversité et d’inclusion, Syensqo a maintenu ses investissements dans les programmes de mixité, notamment en misant sur le Défi 100 jours de L’effet A. Un choix assumé et stratégique, comme l’exprime Greg Renders : « Après avoir analysé nos données, je suis désormais convaincu que l’investissement dans la mixité ne doit pas être seulement une variable d’ajustement en temps incertains, mais un axe de développement stratégique à long terme. » Chez Syensqo, la preuve est faite : investir dans l’ambition des femmes, c’est payant. Point.