Défi 100 jours : quels impacts un an après?
100 jours, et après? Que deviennent nos diplômées à la fin de leur parcours? Comment mettent-elles leur ambition en pratique dans leur entreprise? Piqués par la curiosité, nous sommes allés en quête de réponses auprès des principales intéressées. Ces résultats, récoltées un an après la fin du parcours, donnent de quoi se réjouir pour l’ambition féminine et la parité en entreprise. L’impact de nos programmes est concret et durable tant pour les femmes que pour leurs organisations. En voici les preuves.
D’où proviennent ces résultats?
Les données présentées ici proviennent d’un questionnaire soumis à 179 répondantes situées au Canada. Nous avons mesuré les effets du Défi 100 jours 12 à 18 mois après leur parcours.
Des comportements qui perdurent dans le temps
La mesure de la progression comportementale est au cœur de notre approche. Les 25 comportements du Défi 100 jours permettent de suivre l’évolution des apprenantes pendant le parcours. Un questionnaire d’auto-évaluation, effectué au début et à la fin du parcours, permet de mesurer concrètement les changements perçus par les participantes.
Les résultats sont concluants puisque le sentiment de confiance en soi progresse de 29% en moyenne entre le début et la fin du parcours chez les participantes. Il en va de même pour la prise de risque (+29%) et l’influence (+28%). Une augmentation significative qui ne s’arrête pas là. En effet, un an plus tard, 96% des participantes affirment toujours mettre en application les comportements du Défi 100 jours.
Elles entreprennent des initiatives stratégiques
Un apprentissage qui se traduit également sur le long terme par la mise en œuvre d’initiatives stratégiques, tels que les projets clés alignés avec les intérêts de l’organisation. Un an après avoir terminé le Défi 100 jours, la moitié des diplômées rapportent avoir lancé des initiatives ayant un impact significatif à l’échelle de l’entreprise. Ces initiatives incluent, par exemple, l’amélioration de produits ou de services, ainsi que des projets axés sur l’innovation ou la génération de revenus additionnels. En résumé, ces projets contribuent directement à la croissance de l’organisation.
Une méthodologie innovante et à fort impact
Les programmes de L’effet A reposent sur une méthodologie unique et développée par une équipe d’experts en transformation comportementale.
Notre ingénierie pédagogique s’appuie sur des méthodes éprouvées qui vont au-delà de l’apprentissage et amènent une réelle transformation comportementale chez les participantes.
Elles brisent le plafond de verre
Les diplômées n’ont pas chômé en un an. Beaucoup ont franchi un pas significatif pour leur carrière en devenant responsables d’équipe (manager ou gestionnaire selon la culture locale), donc en franchissant le fameux échelon brisé. D’autres se sont retroussées les manches et assument davantage de responsabilités, que ce soit à travers une promotion ou l’extension de leur rôle actuel. C’est le cas pour 82% d’entre elles.
Ces résultats démontrent que les principes du Défi 100 jours s’ancrent profondément dans les habitudes des diplômées. Un an après, elles continuent d’incarner la confiance, la prise de risque et l’influence, en initiant des projets significatifs et en gravissant les échelons de leurs organisations. Ces résultats prouvent que les transformations amorcées sont durables et ont un impact tangible, confirmant ainsi la puissance et la pérennité de nos programmes pour favoriser l’ambition féminine.
Sur le long terme, on pourrait penser que l’ambition s’émousserait au fil des mois. Il n’en est rien. Bien au contraire : 2 diplômées sur 3 se voient atteindre les plus hauts échelons de leur organisation. Leur ambition de grandir au sein de l’organisation est plus forte que jamais.
Si les effets du Défi 100 jours résonnent encore autant un an après pour les diplômées et leurs entreprises, c’est notamment grâce aux gestionnaires, managers, sponsors en entreprise qui contribuent à soutenir les participantes dans leur développement professionnel. Leur engagement au succès des participantes est immense. Nos prochaines recherches viseront à mieux saisir le type et la fréquence idéale de support qu’ils offrent à leurs collègues et employées.