Un lunch, quatre ambitieuses : récit d’un 100 jours mémorable

Un lunch, quatre ambitieuses : récit d’un 100 jours mémorable

Pendant leur Défi 100 jours, L’effet A a suivi quatre femmes ambitieuses – surnommées « LesA » – pour comprendre l’impact de la formation sur leur vie professionnelle. Fraîchement diplômées, Annie Boisclair, Monique Bakam, Julie Caron et Salimah Lalji nous ont émus et impressionnés lors de leur parcours. Voici le meilleur de ce qui s’est dit lors d’un lunch-bilan entre femmes assumées.

«Le Défi 100 jours m’a donné une grande dose d’énergie. C’est une fierté d’avoir participé à cette formation. J’ai beaucoup appris auprès des leaders de L’effet A», lance d’entrée de jeu Annie Boisclair, première directrice, Service de production des médias pour CBC/Radio-Canada.

Des idées pour sortir de sa zone de confort

Julie Caron, leader Centre Conseils Expérience Employé Banque Nationale, n’hésite pas à renchérir devant les regards approbateurs de ses consœurs.

« C’est un deuil pour moi la fin du parcours ! Ça m’a tellement stimulée à être plus créative et prendre des risques. J’étais encore plus motivée et engagée au travail que je l’étais avant. Les lectures me donnaient des idées concrètes à appliquer au quotidien, dit-elle. Je ne veux surtout pas perdre cette énergie nouvelle qui m’a propulsée. Je veux éviter de retourner dans mes souliers plus confortables. »

Photo de Julie Caron et Annie Boisclair discutant à une table

Julie Caron et Annie Boisclair

De nature timide, Monique Bakam, analyste financier, CPA pour CAE, raconte combien le Défi 100 jours lui a aussi permis de sortir de sa coquille.

« C’était une expérience riche avec la lecture des articles, les ateliers et les conseils de leaders de L’effet A qui nous amènent à aller chercher ce qui est profondément enfoui à l’intérieur de nous. Avant j’avais ma petite routine que je faisais quasiment les yeux fermés. Maintenant, j’ai le courage de sortir de ma zone de confort! » dit-elle en riant.

Aujourd’hui, les diplômées de L’effet A n’hésitent plus à lever la main pour saisir de nouvelles opportunités et gravir les échelons.

« Je siège présentement sur deux comités directeurs en rapport avec les initiatives de CAE sur la diversité et l’inclusion, ce qui me permet de renforcer mes capacités de prise de parole en public. Je suis beaucoup plus stratégique dans mon réseautage », explique Salimah Lalji, gestionnaire principale de sous-traitance, approvisionnements stratégiques mondiaux chez CAE.

De l’introspection à l’action

Inspirée par le Défi 100 jours, Annie Boisclair réfléchit déjà à ce qu’elle pourrait mettre en application à la société d’État. Elle soutient que la formation lui a permis de se recentrer sur ses valeurs qui sont fondamentalement humaines.

« J’ai pris conscience que j’avais besoin de faire grandir les employés pour être plus sereine dans mon mandat. »

Pour sa part, Julie Caron a appris à mettre ses limites.

« C’est dans ma nature de vouloir plaire. J’étais déjà impliquée dans cinq projets de front lorsque j’ai eu à en ajouter un autre. J’ai donc dû faire un choix parce qu’il y a une limite à la capacité de mon équipe à s’adapter au changement. Avant j’aurais simplement voulu répondre rapidement aux attentes. J’ai désormais plus confiance en moi pour défendre mes idées », souligne celle qui a choisi de prendre un mentor pour poursuivre son développement professionnel.

Photo de Monique Bakam et Salimah Lalji souriant

Monique Bakam et Salimah Lalji

Changer de perspective

« Les qualités que l’on développe ne nous aident pas seulement dans le travail, mais aussi dans notre vie personnelle. Par exemple, il arrive que des personnes soient timides dans leurs relations avec les autres; le Défi 100 jours renforce la confiance en soi », croit Salimah Lalji.

Selon elle, les thématiques abordées, telles que le syndrome de l’imposteur, touchent à plusieurs points communs vécus par les femmes sur le marché du travail. « C’est exactement ce que j’avais besoin d’entendre. Et la formation m’a incité à prendre du temps pour moi. J’ai sauvegardé tout le contenu. Je vais pouvoir relire les articles et réécouter les vidéos au besoin. »

Absorbée par le tourbillon du quotidien, Monique Bakam, avançait dans sa carrière selon les circonstances sans forcément se questionner sur son avenir.

« L’effet A m’a donné le goût d’aller au-devant des choses. L’accessibilité des leaders et leurs expériences ont définitivement stimulé mes réflexions et mes rêves professionnels. Aujourd’hui, j’ai changé ma façon de percevoir l’ambition et ce concept que je trouvais tabou est devenu noble à mes yeux. »

Toutes les quatre s’entendent pour dire que le Défi 100 jours a eu un impact positif et déterminant dans leur carrière.

« Le retour sur investissement est là. C’est une fierté d’avoir pu participer à cette formation », conclut Julie Caron. À la sortie de l’hôtel Gault, « LesA » ont promis de garder le contact afin de ne jamais laisser s’éteindre la flamme de l’ambition, bien vivante en elles.

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L'effet A

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