100 jours pour assumer pleinement mon ambition

100 jours pour assumer pleinement mon ambition

Alors qu’elle entamait le Défi 100 jours, Anne-Lise Wintzer se posait de grandes questions sur son avenir professionnel. Pour celle qui tentait de redéfinir ses objectifs de carrière, le parcours de formation s’est avéré une occasion en or de plonger dans une profonde et nécessaire introspection.

Le Défi 100 jours m’a permis de gagner en confiance. Je me sens aussi beaucoup plus audacieuse et assumée face à mon ambition.

Elle nous raconte!

On entend régulièrement dire que le Défi 100 jours est une expérience transformatrice. Qu’est-ce que l’aventure t’a permis de réaliser sur toi-même?

J’ai envie de progresser dans des postes de manager et de bien positionner mon leadership. Mais pour ça, je ressentais le besoin de me recentrer sur mes valeurs et mon ambition.

Moi qui croyais qu’il n’y avait qu’un seul modèle de femme ambitieuse, j’ai découvert avec bonheur qu’il en existe plusieurs. Grâce au Défi 100 jours, j’ai appris que chaque femme qui aspire à faire sa place et à briser le plafond de verre peut y parvenir en exprimant un leadership qui lui ressemble. C’est ce qui m’a encouragée à assumer qui je suis et ça m’a inspirée à agir selon mon propre modèle. J’ai enfin trouvé le courage d’être moi-même!

La leader Sophie Brochu disait qu’on n’a pas toujours le succès qu’on imaginait, mais qu’il y a nécessairement une route alternative. Ça a résonné chez moi, car j’aime essayer de nouvelles choses. Je me sens prête et pleinement inspirée pour la suite.

Comment le Défi 100 jours t’a-t-il permis de grandir comme professionnelle?

J’ai revu mes priorités. Ce qui est réellement important pour moi, c’est d’être une meneuse, de faire une différence. Je dois donc me concentrer sur ce rôle. J’ai le désir d’exercer une influence positive là où je me pose. Pour y arriver, je dois exprimer mes envies, qui je suis et où je veux aller.

Ces 100 jours m’ont appris à oser m’affirmer. J’ai enfin l’audace de poser les bonnes questions et ainsi, d’éviter de me retrouver dans une posture qui ne me convient pas.

Qu’est-ce que le Défi 100 jours te permet maintenant de faire différemment?

Je suis une personne qui aime aider. Par habitude ou par bonne volonté, il m’arrivait de prendre sur moi les responsabilités des uns et des autres. C’est un réel changement pour moi de m’en tenir à mon rôle de leader et de laisser les autres face à leurs responsabilités. Écouter, conseiller, supporter, tout en me concentrant sur mes dossiers.

Je suis également très satisfaite des relations que j’ai construites. Moi qui aborde le réseautage avec un peu de méfiance, je me suis finalement ouverte à plusieurs nouvelles possibilités.

Quels conseils, entendus durant ton parcours, voudrais-tu partager aux femmes qui t’entourent?

J’ai beaucoup apprécié les conseils de négociation de Martin Imbleau. Cette idée de négocier «gagnant-gagnant» m’a fait prendre conscience que je devais apprendre à me retirer de contextes qui ne présentent aucun avantage pour moi. J’ai passé 15 ans à être cette fameuse «bonne élève», à avoir les compétences opérationnelles, mais avec un manque d’influence. Maintenant, je veux afficher mon ambition et me diriger vers ce dont j’ai réellement envie. Je veux choisir des situations qui ne sont pas seulement gagnantes pour l’entreprise, mais aussi pour moi-même!

Que dirais-tu à une amie ou à une collègue qui voudrait, elle aussi, faire le Défi 100 jours?

Vas-y! On y rencontre des gens qui vivent des situations similaires à la nôtre et à travers nos échanges, on trouve des solutions.

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auteure michèle provencher souriante

Michèle Provencher

Autrice

Scénariste de formation, Michèle Nicole Provencher a œuvré dans les domaines de la musique, des médias et de la publicité. En 2018, elle publie son premier livre, une autofiction intitulée «Mardi comme mardi» qui a reçu un accueil des plus enthousiastes.